KM et IA Générative: quelles relations?
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Comment concilier les contraintes budgétaires et le besoin croissant de partage et de capitalisation des connaissances dans une organisation. Comment aborder la gestion des connaissances avec sobriété tout en restant efficace.
CoP-1 Knowledge Management et SKEMA Business School organisent une conférence autour de cette réflexion
Retrouvez en un clic les différentes interventions :
Pour en savoir plus : Livret de la conférence
Ouverture de la conférence, Pierre Prével
Introduction, Louis-Pierre Guillaume, Schneider Electric
Table Ronde 1: Thibault Meur, Engie
Table Ronde 2: Louis Pierre Guillaume, Schneider Electric
Table ronde 3, Laurence Fourcade, Kéolis
Table ronde 4, Jeanne Damay, Orange
Les bonnes pratiques, Aurore Haas, SKEMA
Plazza, Sylvain Hudelot, Orange
Plazza, les perspectives, Orange
Conclusion, Martin Roulleaux-Dugage
Événement organisé par l’association CoP-1 Knowledge Management, SKEMA Business School et le cercle Knowledge & Collaborative Intelligence.
Le 24 novembre 2016 au campus de SKEMA à La Défense.
RESUME
Jusqu’au début des années 2000, le « knowledge management » (KM) ou gestion des connaissances était perçu comme une discipline dérivée de la gestion documentaire et centrée sur l’explicitation des connaissances. Ce livre a été écrit en 2006 alors que Facebook venait à peine de naître. Il part de l’idée qu’on ne peut pas gérer un corpus de connaissances partagé sans qu’une communauté se soit organisée pour le faire vivre. Organisation 2.0 est le premier ouvrage qui s’est intéressé à la question de la mise en place des communautés apprenantes, et tout spécialement les communautés de pratique, à l’intérieur des grandes organisations, en soulignant les difficultés particulières liées à la cohabitation de ces structures informelles en charge du partage et de la capitalisation des connaissances avec les structures formelles de management en charge de l’allocation des ressources et de la prise de décisions. Il propose des solutions pratiques pour y parvenir en s’appuyant sur des exemples réels.
Il conviendrait de l’actualiser en tenant compte des derniers développements en matière de capitalisation des connaissances, notamment en insistant sur les formes non documentaires des objets de connaissance que sont les codes de calcul, les algorithmes, les schémas, les arbres de décision et toute forme d’outil d’aide à la décision.
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